On définit le coup de foudre comme étant l'amour au 1er regard, la rencontre de deux destins semblables. C'est une notion largement discutée, car elle est basée sur l'apparence physique, et un destin que nous ne pouvons voir. Cependant, Shakespeare consacre sa pièce à cette question. Les "amants maudits", comme il les appelle, sont contrariés par le destin des le début, par leurs coup de foudre. Ils ne sont pas fait pour être ensemble, mais semble croire tout deux à un amour éternel.
Roméo voit Juliette pendant le bal de ses parents, bien qu’il ne lui ait jamais parlé, sa réaction traduit déjà un amour naissant du coup de foudre. Il place son unique beauté comme étant l’élément déclencheur de son amour :
« Oh elle enseigne aux torches à briller splendidement !
On dirait qu’elle pend à la joue de la nuit
Comme un riche joyau a l’oreille d’un Ethiopien
beauté trop riche pour qu’on en use et trop chère pour la terre… »
I, 5 v39-46
Il dit ensuite « Mon cœur jusqu'à présent a-t-il aimé ? » Rosaline est oubliée, Juliette occupe toutes ces pensées.
Juliette est plus raisonnée. Cependant, elle se laisse embrasser « selon les plus belles manières ».
Par leurs unique langage dans cette scene, a travers les metaphores filées du pelerin et de la sainte, leur amour nait. Cet amour parait comme superficiel. Neanmoins, le destin se joue encore d’eux a l’annonce de leurs identités. Romeo eprouve en sentiment de trahison envers sa famille « Ma vie devient mon dû envers mon ennemi ».
Juliette, a ce niveau, se montre nettement moins raisonnée. Elle dit, avant de savoir son nom, parlant de Roméo « s’il est marié, Mon tombeau, je le crains, sera mon lit de noces » , puis, a l’annonce de son identité,
« O mon unique amour né de ma seule haine
inconnu vu trop tot et reconnu trop tard !
Monstrueuse est pour moi la naissance d’amour,
que je doive aimer mon ennemi detesté ! »
Leurs amour est reel cependant, car meme apres l’annonce de leurs noms, ils ne se questionnent pas. Cela mène l’audience a croire en un amour vrai, comme le nomme Juliette, « The true love »